Dans une maison albigeoise de briques roses – Shooting boudoir tendre et brûlant
Dans une maison albigeoise de briques roses – Shooting boudoir tendre et brûlant
Élodie, 31 ans, infirmière, avait envie d’une parenthèse. Elle m’a accueilli dans sa maison de ville, au cœur du quartier Madeleine. Un lieu simple, baigné de lumière. Elle portait une chemise blanche, ample, qui flottait à chacun de ses pas.
Nous avons commencé dans le salon, puis elle m’a guidé vers la chambre, nue pied sur le parquet ancien. La chemise glissa lentement, dévoilant son dos, ses hanches pleines, et son sexe rasé, à peine brillant. Elle s’allongea sur le lit, s’étira, caressa doucement l’intérieur de sa cuisse. Tout en elle respirait la sensualité tranquille, assumée, douce.
Son souffle devint plus court lorsque ses doigts se glissèrent entre ses jambes, juste là, doucement. Elle ne cherchait pas à montrer, mais à ressentir. Et dans chaque cliché, ce frisson intime se lisait sur sa peau : un frémissement sur son bas-ventre, un regard légèrement voilé, une main qui serre le drap avec intensité.
Ce n’était pas un shooting érotique à proprement parler. C’était une redécouverte. D’elle, pour elle.